mercredi 18 juillet 2012

holiday in the sun (exactement)

La gazette du rock ne part pas surfer aux USA ni même rocker sur la plage, non, elle concocte déja le numéro de la rentrée loin des boues du festival de Dour. Peut-être s'octroiera-t-elle une pause pour aller voir les Monsters le 4 août à Liège mais ce sera tout.
Attention, la Maison du Rock ne se tourne pas les pouces dans l'attente du soleil. Après l'excellent accueil Caroloringien et l'expo à la maison de la Laïcité, elle a profité de l'ambiance cosy du bunker pour le 38e grand souk aux fanzines fin juin. Un bon grand moment!
on remarquera ci-dessous Stella, la grande prétresse de la Maison du Rock, usant de tous les artifices pour attirer le chaland.

Le stand Maison du Rock avec sa peau de bête sauvage Liégeoise et Pierre de la Zone, valeureux chauffeur (entre mille choses) pour la Maison du rock.


Le Week end terminé,cartons remballés, bières digérées, voici donc la nouvelle Gazette sur les rails, avec une couverture de Jeff Pourquié.A découvrir et dévorer en septembre/octobre

...Mais pour patienter, un bref aperçu de ce qu'on y trouvera: l'invasion British par Jampur Fraize, où l'on apprend qu'un petit voyou américain lança des cailloux sur ce qu'il croyait être des cafards, alors qu'il s'agissait de scarabées, une équation à une inconnue de Parrondo, une histoire de zoziau zozo pas piquée des vers par Det, Bo Diddley dans son garage par JBGG, les relations tumultueuses de Ron Dadouron, les déboires des boit-sans-soif de (P.U.T.) par Siscalocca, le retour de l'alphaBURT, une interview de Pascal Comelade, peintre à ses heures, une interview et une histoire du rock par JCMenu, l'hardi défenseur du vinyl qui écoute la musique sur internet, Moolinex, le nouvel artiste Liégeois et aussi Fifi, Stéphane Dupont, Mark Stekendries, ...qui nous parleront de je ne sais plus quoi et d'autres choses encore!
Vous trépignez d'impatience? Vous avez bien raison, nous aussi. En attendant, relisez ou commandez les numéros précédents, Stella vous attend la bouteille à la main, sous le soleil exactement.

(les photos du bunker ont été sournoisement chipées à Siscalocca sans sa permission, c'est honteux.)